CDEN du 28 novembre 2019 : "J'ai voulu le dire, mais on ne m'a pas écouté..."
La confiance et l’écoute..
...La confiance et l’écoute de la part de l’institution envers les représentants légaux et surtout des élèves sont dues et doivent être partagées. Quand l’institution demande un courrier signé pour un harcèlement pour agir, il est déjà trop tard. Il est difficile pour un parent d’élève harcelé de témoigner et il l’est aussi pour un parent d’élève témoin de se faire connaitre officiellement, par crainte de mise à l’écart de l’enseignant, du directeur d’école, du maire dans le microcosme dans nos communes rurales. Si cette condition est un préalable par précaution pour les membres de l’institution, nous demandons la même précaution pour nos enfants. La confiance doit s’appliquer encore lorsque le harcèlement se poursuit, ce malgré la procédure engagée. L’écoute et la confiance de l’institution Education Nationale envers les représentants légaux priment au strict suivi des procédures. Il en va de l’intérêt de l’enfant confié à l’école de la République, de sa sécurité.
La confiance et l’écoute, la FCPE Creuse la demande pour les familles, dès l’annonce des effectifs suffisants aux maintiens de classe par les élus et les enseignants et reconnus seulement à la rentrée.
La confiance et l’écoute, la FCPE Creuse la demande pour les familles d’enfant à besoin particulier. Il est inacceptable de ne pas respecter les notifications de la MDPH et de les traduire en accompagnements insuffisants en heure et en ASH mutualisé et non individuel. Les chefs d’établissement et l’équipe enseignante font souvent le maximum avec le minimum, ou ne font pas par manque de place en structure spécialisée.
Les représentants des parents ne devraient pas à avoir à demander plus de confiance et d’écoute pour nos parents, pour nos enfants sous responsabilité de l’Education Nationale. Notre confiance est bien entamée !